Président en exercice de l’Union Africaine (UA), le chef de l’Etat mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, prendra part au sommet du G20 prévu samedi et dimanche à Brisbane en Australie.
Le G20 regroupe les 20 premières économies du Monde.
Non membre de ce club, l’Australie a cependant été choisie pour organiser le sommet de 2014 qui va porter sur les voies et moyens de donner « une nouvelle impulsion à la croissance économique mondiale et aux institutions financières internationales conformément aux grandes préoccupations actuelles et la création des emplois ».
En plus des questions liées à l’économie, le sommet de Brisbane débattra également des sujets politiques et sécuritaires du moment, notamment le terrorisme en Irak et en Syrie.
Le président du Sénégal, Macky Sall, est également invité à cette rencontre.
La grande interrogation porte sur les enjeux de Brisbane pour les africains.
« Ambiguïté délibérée » : voilà comment Ehoud Barak, alors ministre de la Défense de l’entité sioniste, désignait, en 2010, la stratégie nucléaire de son gouvernement ; « une bonne politique, en entente totale avec les États-Unis », tenait-il, sibyllin, à préciser.