
Nous sommes vendredi 10 avril 2015. Café Tunisie. Il fait chaud et j’arrive à 16h15mn. Un peu en retard. Objectif : assister à un débat. C’est une courte conversation à bâtons rompus.
Comme si les coupures d’eau et d’électricité ne suffisaient pas. Voilà que des incendies entrent dans la danse macabre. Et pas n’importe lesquels : ceux de tonnes d’ordures accumulées en plein centre-ville, qui plus est entre deux hôpitaux : le CHN et celui de traumatologie. Une scène digne de l’Apocalypse.