L’arbitraire, la bureaucratie, le gaspillage, le népotisme sont la maladie pernicieuse des peuples, sous-développés et particulièrement de ceux qui sont soumis au pouvoir absolu.
Comme si les coupures d’eau et d’électricité ne suffisaient pas. Voilà que des incendies entrent dans la danse macabre. Et pas n’importe lesquels : ceux de tonnes d’ordures accumulées en plein centre-ville, qui plus est entre deux hôpitaux : le CHN et celui de traumatologie. Une scène digne de l’Apocalypse.