
Une violente tempête secoue le climat des libertés en Mauritanie. D’une part, l'Etat qui veut, à tout prix, maintenir l'ordre, au prix exorbitant du respect de la vie privée et de la liberté de la presse.
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine