
Août 1960, locaux de l’ambassade de France à Beyrouth au Liban. Un cinquantenaire d’apparence maghrébine se tient assis dans un bureau.
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine