L’étendue du territoire mauritanien et l’inexistence de moyens modernes de transport et de communication assurèrent, par le passé, la prédominance de la loi de la jungle, à peine tempérée par mille ans d’islam.
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine