
La Mauritanie n’est plus en zone rouge, et les Européens n’ont plus peur d’y revenir : ses frontières sont plus que jamais sécurisées, et les pays voisins se mobilisent pour adopter sa méthode sécuritaire.
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine