Selon un adage populaire bien de chez nous, « le grand dit sa parole et le petit se tait ». Même chez les civils. Devant un président, on ne parle pas n’importe comment. On se lève. On lève le doigt. On parle poliment.
Le mercredi 25 Janvier s’est enfin ouvert le procès tant attendu. Celui d’Aziz et douze de ses compagnons d’in(fortune). Longtemps attendu par l’opinion nationale, il devrait sceller pour de bon le sort de l’ex-Président qui n’a cessé de narguer le pouvoir et la justice incapables, selon lui, de lui faire un procès.