
De passage en Mauritanie il y a quelques années, feu Michel Guignard, un fin connaisseur de la musique maure à laquelle il consacra une thèse de doctorat au cours des années 50, répondit à un journaliste qui lui demandait comment
Comme si les coupures d’eau et d’électricité ne suffisaient pas. Voilà que des incendies entrent dans la danse macabre. Et pas n’importe lesquels : ceux de tonnes d’ordures accumulées en plein centre-ville, qui plus est entre deux hôpitaux : le CHN et celui de traumatologie. Une scène digne de l’Apocalypse.