
Le recyclage, il y a quelques jours, d’anciens hauts fonctionnaires valorisés sous le harnais au temps d’Aziz et la permutation d’ambassadeurs ont fini de persuader les plus sceptiques d’entre nous que le changement tant attendu n
Comme si les coupures d’eau et d’électricité ne suffisaient pas. Voilà que des incendies entrent dans la danse macabre. Et pas n’importe lesquels : ceux de tonnes d’ordures accumulées en plein centre-ville, qui plus est entre deux hôpitaux : le CHN et celui de traumatologie. Une scène digne de l’Apocalypse.