« Si l’unité nationale est aujourd’hui menacée, elle l’est par la politique de discrimination et d’exclusion du président Aziz qui ignore les Harratines et les Négro-mauritaniens. »
Depuis quelques semaines on ne parle plus que de ça, faisant passer au second plan le procès de l’ancien président qui s’est réouvert ce lundi 20 mars.