
Il y a trente six ans qu’une junte militaire (Comité Militaire de Redressement National) composée de plusieurs officiers a renversé le premier régime civil de Mauritanie.
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine