Fatimata Barry, Aminata Athié dite Coumba, Mint Khai et bien d’autres femmes, longtemps martyrisées par la fistule obstétricale et victimes d’un injuste rejet social, tournent fièrement cette page douloureuse de leur vie.
Dans son classement annuel qui sert de baromètre à la liberté de presse dans le Monde et publié chaque année le 3 Mai, à la veille de la Journée mondiale de la Presse, Reporters Sans Frontières (RSF) a rétrogradé la Mauritanie de la 33ème place qu’elle occupait l’an dernier à la 50ème. Pourquoi, à votre avis ?