
C’était l’apothéose, dimanche 22 Mai, avec la remise des prix de la première dictée Habib ould Mahfoudh. Il y avait du beau monde.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.