
Mohamed Aballah Ould Abbe, un journaliste mauritanien basé en France, lance une pétition « contre la montée spectaculaire de l’obscurantisme, du terrorisme intellectuel, et même parfois physique » dans le pays.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.