
La mort, a dit je ne sais plus qui, fait partie de la vie. C’est un peu vrai : même après la mort, t’as encore des comptes à rendre. Et là, c’est très grave, impossible de jongler, feinter ou mentir.
Le Calame : Assalamou aleykoum, Monsieur le président !
Le président Ghazwani : Aleykoum Essalam ! (Il commence à invoquer Allah et son Prophète (PBL) et récite plusieurs versets du Saint Coran pointant un doigt dans chaque direction cardinale…)