Pour autant qu’ils retrouvent la liberté, les anciens esclaves sont confrontés à l’épineux problème de l’état-civil qui vient aggraver un implacable constat : liberté ne signifie pas, systématiquement, accession à la dignité.
C’est la question de la semaine : Après plus d’un an à la tête de la Primature, Ould Diay a-t-il réussi ou échoué ? A-t-il pu insuffler un sang nouveau à une institution qui en avait tant besoin ? Est-il parvenu à coordonner avec succès l’action d’un gouvernement dont il n’avait pas prise sur certains membres ?