La bizarrerie, en Mauritanie, a un nom. Et quiconque ne peut imaginer ce que c’est. Il est bizarre. Il est particulier. Singulier. Ça, c’est un ogre, pour une affaire qui a plusieurs têtes en Mauritanie et aucune queue.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.