
Une trentaine d’années après les faits, la Mauritanie reste toujours hantée par les vieux démons du passif humanitaire de la gouvernance sécuritaire du président Maaouya Ould Sid’Ahmed Taya, malgré une loi d’amnistie au forceps a
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.