Une légende populaire raconte qu’un diable alla, d’Est en Ouest, sur une distance de plusieurs milliers de kilomètres, en suivant, comme nous contaient nos grands-mères, « ses nuits et ses jours », pour aller accomplir un besoin p
Quand la médiocrité est partout, attends-toi à la fin du Monde. Or, elle est partout, la médiocrité. La bouffonnerie, la clownerie, la rigolade. Quel rapport entre un budget d’investissement et un mandat présidentiel ?
Depuis quelques jours, tout le monde ne parle que de ça. La langue française. La belle langue française. C’était la mode que de parler français. Bonjour. Bonsoir. Ça va. Comment ça va. Bien.
Au beau vieux temps de la belle époque de la vraie école, même les plus médiocres des élèves distinguaient entre année bissextile, année ordinaire et année commerciale. Les 366 jours. Les 365 jours. Les 360 jours.
Deux choses curieuses qui viennent de se passer. Qui n’ont rien à voir, a priori. Ni l’une avec l’autre. Des kenyans qui baptisent une rue du nom de l’ancien président Moktar ould Daddah.
En Mauritanie, les voyages ont aussi leur tradition. La célèbre Rav’gua. La caravane de mil. De sel. De tissu. De thé. De sucre. Bon et puis, allons-y quand même, des esclaves. Oui, il y en avait. Au moins en ces temps.
Les Mauritaniens aiment les ragots. Depuis très longtemps. Cette idylle avec les ragots, ça remonte a aussi loin que vous remontez l’histoire du pays. Tout tourne autour des détails. Dans la vie, rien n’est vraiment essentiel.
La Mauritanie avance comme elle peut. Celui qui se retrouve dans une forêt doit gazouiller comme ses oiseaux. C’est ça qu’on dit, ici. C’est même ça qu’on fait, ici. Regarde. La Mauritanie, c’est quoi ? C’est un assemblage.