Ce qui est beau est beau. Ce qui suppose que ce qui ne l’est pas ne l’est pas. C’est évident. Tellement évident. Les Arabes ont quelque chose pour dire ça : Clarifier ce qui est clair le rend flou. Complètement flou.
Il y a quelques semaines, un ancien fonctionnaire devenu conservateur de bibliothèque, Ahmed Mahmoud ould Mohamed, dit Gmal, publiait sur Facebook un post au titre évocateur : « La mémoire en décharge : quand les archives nationales finissent dans les ruelles de Nouakchott ».