
J’ai lu avec beaucoup d’attention l’article de l’éminent professeur Toka Diagana, sur le thème : « Langue, culture et développement : naviguer dans le dilemme éducatif de la Mauritanie»

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.