
L’Association Mauritanienne des Droits de l’Homme (AMDH), a constaté avec regret et consternation, la reprise des rafles au faciès et des refoulements aux frontières des étrangers subsahariens depuis le mois de mars 2019.
Ils étaient cinq marins dans la fleur de l’âge, partis de chez eux en quête de pitance.