Le Calame : Il y a de cela six mois, vous vous lanciez dans une carrière politique, en portant, sur les fonts baptismaux, une formation dénommée Front Républicain Pour l’Unité et la Démocratie (FRUD). Comment allez-vous, p
Le Calame : Le feuilleton politico-judiciaire « Ould Ghadda – Bouamatou » tient en haleine toute la République. Quelle lecture vous faites de ce dossier?
Le Calame:D’abord, un mot sur les intempéries qui ont endeuillé des familles et occasionné de nombreux débats dans les environs de Boghé et de Kiffa et sur la présence du président Aziz à la table rond
Le Calame : Le G8 a rejeté les résultats du référendum du 5 août dernier. Quelle est la signification de ce geste ? Quelle portée peut-il avoir sur la suite de l’agenda du président de la République ?
Le Calame : Vous venez de rentrer de plain pied dans la première phase d’implantation de votre parti. Vous avez visité quelques quartiers de Nouakchott.
Le Calame :Votre client, le sénateur, Mohamed Oud Ghadda a été arrêté chez lui par des policiers en civil. Avez-vous une idée de l'endroit où il se trouve et pourquoi il a été arrêté?
Le Calame :Commençons par les nouvelles du président Messaoud, évacué à l’étranger, il y a quelques semaines, pour des raisons de santé. Comment va-t-il ?
Le Calame : A en croire la CENI, Les Mauritaniens ont voté largement en faveur des amendements constitutionnels. Le Oui remporte à 85, 61% des votants, avec un taux de participation de 53,75%.
Le Calame : Commençons, si vous le voulez bien, par la répression par la police des marches du front du refus des amendements Constitutionnels. Des leaders de partis politiques ont été même été blessés.