
Ould Abdel Aziz l’a répété au moins trois fois, à des journalistes français à qui il a accordé un entretien de près d’une heure, vendredi dernier : il respectera son serment, jurant, de surcroît et à deux reprises, de ne toucher à

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.