Pour être chroniqueur, point besoin d’être journaliste. Il « suffit » d’avoir une connaissance des Belles Lettres, posséder une certaine culture, une finesse d’esprit permettant d’un fait, faire la froide analyse.
À l’instar de quatre de ses pairs africains, le président Ghazouani a déféré à l’invitation de son homologue américain, l’inénarrable Donald Trump. La rencontre et ses différentes péripéties ont fait couler énormément d’encre et de salive.