Dans le première partie de cette contribution au débat, (publiée dans Le Calame 1032 du mercredi 22 juin 2016), l’auteur a évoqué la génèse de la crise et son émergence.
Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.




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