Il n’y a pas si longtemps j’exprimais mon admiration pour celui qui, à n’en pas douter, depuis qu’il est apparu sur la scène nationale au rythme de chroniques bien ficelées sur les questions qui fâchent tant, continue de mériter,
Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.




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