
C’est comme ça, chez nous, vraiment une tradition : il faut d’abord mourir. Bien mourir. Puis viennent ensuite les hommages. C’est ainsi et pas autrement.
L’éclatante victoire du docteur Sidi Ould Tah à la présidence de la Banque Africaine de Développement (BAD) avec plus de 76% des voix (une Première dans l’histoire de cette importante institution financière) est significative à plus d’un titre.