
C’est sous le malheureux titre « Les Mauritaniens face à la pénétration française, de 1900 à la première Guerre mondiale » que Ba Aliou Ibra a publié, l’année dernière (1), un de ses travaux universitaires, soutenu, en Octobre 197

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.