A quelques 48 heures de l’Aid El kebir, les pères de familles s’arrachent les cheveux pour satisfaire les besoins divers de la famille, parmi lesquels figure, en bonne place, le mouton du sacrifice.
Il y a quelques semaines, un ancien fonctionnaire devenu conservateur de bibliothèque, Ahmed Mahmoud ould Mohamed, dit Gmal, publiait sur Facebook un post au titre évocateur : « La mémoire en décharge : quand les archives nationales finissent dans les ruelles de Nouakchott ».