Le docteur Nedhirou ould Hamed s’y essaya en son temps et fut emporté par le courant qui charrie tous ceux qui essayent de mettre un peu d’ordre dans le secteur pharmaceutique de notre pays.
Aussi paradoxal que cela puisse paraître au regard de ceux qui mesurent l’écart entre le système démocratique tel qu’il est théoriquement et admirablement organisé par notre actuelle Constitution et celui dominant la Mauritanie où
J’aurais pu commencer par dire « où allons-nous ? » en plagiant le titre d’un article publié il y a quelques années par l’un de mes honorables concitoyens dans un contexte comparable, à peu de choses prés, à celui que nous vivons
« Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude. L'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes » (Article 4, Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948)
Que l’on m’autorise deux précisions préalables avec l’espoir de lever toutes équivoques éventuelles. La première est que ces lignes sont un simple billet d’humeur.