Souffrant historiquement d’une longue marginalisation en Mauritanie, la peinture, la sculpture, le graphisme…. vont faire désormais l’objet d’une attention particulière des pouvoirs publics.
Il y a quelques semaines, un ancien fonctionnaire devenu conservateur de bibliothèque, Ahmed Mahmoud ould Mohamed, dit Gmal, publiait sur Facebook un post au titre évocateur : « La mémoire en décharge : quand les archives nationales finissent dans les ruelles de Nouakchott ».