
Il était une fois alors, maintes fois de suite ; puis bien après ; et, sous peu de temps ; au pays très célèbre des subterfuges tant rectificatifs, une énième autre fois encore… Un putsch « sincèrement » déguisé, à la medvedevienn

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.