
Suite à la déclaration de la Confédération Générale de Travailleurs de Mauritanie du 29 Mai dernier et du rappel de souvenir de mon ami Me Mohameden Ould Ichidou, je veux par cette brève note ajouter mes souvenirs personnels sur

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.