
Dans la première et deuxième parties de sa réponse, publiées dans ces mêmes colonnes, le colonel Mohamed Lemine avait traité de la légitimité de la guerre du Sahara et des moyens militaires mis en oeuvre.
Une page se tourne mais l’histoire n’en est pas finie pour autant. Le procès en appel d’Ould Abdel Aziz, de deux anciens Premiers ministres, de hauts responsables et des hommes « à tout faire » a rendu son verdict… mais l’affaire n’est toujours pas close.