Dans une série d’articles que je publierais sur cette page, je vais essayer d’élaborer une analyse à la fois politico–financière et macroéconomique relatant l’ensemble des mesures protectionnistes mises en place par la Banque Cent
Les mesures prises par les Etats face à la progression de la pandémie ont suscité ça et là une certaine panique et des cafouillages à divers degrés dans le comportement des humains.
Enflammés, les réseaux sociaux sont sur le point d’exploser, suite au partage, à la Une, des photos marquant le retour au pays du célèbre homme d’affaires mauritanien, Mohamed ould Bouamatou.
Il y a eu ces derniers temps une recrudescence des idées d’incitation au meurtre, à la haine et au mépris vis-à-vis de tel ou tel groupe tribal ou ethnique parmi les composantes du peuple mauritanien.
Il y a quelques jours, une octogénaire, pieuse et peu intéressée à la vie d’ici-bas décédait à Nouakchott puis inhumée le même jour à 111 kilomètres de là, à Tin Ghadej son lieu de naissance.
Ce que nous avons dit, dans notre précédente édition, du droit coutumier de la terre, qui assimile largement celle-ci à un bien waqf, peut l'être de celui de l'eau ; en particulier dans le domaine saharien.
Les bouleversements causés par le coronavirus COVID-19 sont tout autour de nous. Et je sais que beaucoup sont anxieux, inquiets et déconcertés. C'est bien normal.
Notre problème avec les droits de l’homme, est de comprendre qu’il s’agit d’un domaine qui requiert un éventail de solutions efficientes, notamment une approche consensuelle découlant d’une vision positive entre d’une part, l’Etat