
Non loin de là il y avait la modeste demeure de Dah Ould Madiguéne, un brave homme chez qui j'ai pris souvent du thé en compagnie d'un autre ami d'enfance Moloud Ould Dah qui a rejoint la cour des comptes.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.