Le Calame : Assalamou aleykoum, Monsieur le président !
Le président Ghazwani : Aleykoum Essalam ! (Il commence à invoquer Allah et son Prophète (PBL) et récite plusieurs versets du Saint Coran pointant un doigt dans chaque direction cardinale…)
Ma relation avec mon frère et cher ami Feu Ahmedou ould Mohamed ould Abel Aziz avait débuté au milieu des années quatre vingt-dix. Je l’avais connu depuis lors accueillant et toujours souriant.
Monsieur le Président, j’ai l’honneur de venir encore une fois vous saisir par la présente lettre au sujet d’une situation que le monde du travail connait depuis quelque temps, je vous avais saisi par mes précédentes lettres au su
Comme le soutiennent les anciens sages orientaux, il est vrai que, quand on fait recours à la plume pour exprimer des sentiments, c’est qu’on veut leur donner un caractère physique, les rendre palpables et en ressortir la dimensio
Le décès du fils cadet du président de la République il y a tout juste une semaine, continue à susciter la réaction attristée des mauritaniens issus de toutes les composantes nationales.
En ces moments de deuil et de recueillement, où nous sommes peinés par la perte du président de notre fondation Ahmedou Ould Abdel Aziz et du journaliste Cheikh Oumar Ndiaye, nous tenons avant tou
Avertissement – Après avoir commencé de publier les entretiens qui en 2001 m’ont mis à jour sur l’évolution du pays depuis le putsch de 1978 et sur les prodromes de celui-ci, Le Calame va reprendre la publicat
Les massacres perpétrés durant les années 1989 constituent, à tous les égards, un génocide pur et simple résultant d’une volonté clairement exprimée par le régime raciste de l’époque de vider la Mauritanie de sa composante noire.<