Je revois encore le vieux Ahmedou Ould Tah montant sur son joli chameau. C’était un beau vieillard à barbe bleuie par l’excès d’utilisation de la guinée.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.