J’ai lu avec intérêt « Quarante ans au service de l’Etat mauritanien (bribes de souvenirs, ça et là) 1960-2000 » d’Abdallah Sidya Ebnou.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.