J’ai récemment lu un ouvrage, intitulé La Chaumière Africaine, paru en 1824 à Dijon, chez Noellat, écrit par une rescapée du naufrage de la frégate La Méduse, l’un des
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.