
Si j'avais un tant soit peu de courage et d'intelligence politique j'écrirais un livre, « La Primaire expliquée aux Nous Z'Autres »...

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.