
Voici une chronique, la mienne, qui, en temps normal, en temps de paix des cœurs, d'intelligence et de savoir, de justice, n'aurait pas dû être écrite. N'aurait eu aucun motif.
Coupures d’eau, d’électricité et d’Internet récurrentes, alors que s’accroissent les difficultés à joindre les deux bouts – du mois, pour ceux qui ont la chance d’avoir un salaire régulier, aussi faible soit son montant –, voilà largement de quoi indigner nos populations devant les énormités des manquements gestionnaires relevés