
Dans un article paru Chezvlane, l'auteur peint un Ghazwani déçu, désintéressé voire très peu poreux au souffle d'un second mandat.

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.