
Après s’être envolé vers la France pour raisons médicales dès la fin du contrôle judiciaire qui l’avait emmuré dans un silence guère à son habitude, Ould Abdel Aziz s’est essayé à reprendre du poil de la bête.
Le Calame : Assalamou aleykoum, Monsieur le président !
Le président Ghazwani : Aleykoum Essalam ! (Il commence à invoquer Allah et son Prophète (PBL) et récite plusieurs versets du Saint Coran pointant un doigt dans chaque direction cardinale…)