
Il y a quelques (courtes) années, une (re)lecture opportune des mémoires du Père Fondateur de la Mauritanie m’avait amené à comparer, un peu futilement il est vrai, MoktarOuld Daddah, à deux de ses successeurs en treillis (voir, <

Coupures d’eau, d’électricité et d’Internet récurrentes, alors que s’accroissent les difficultés à joindre les deux bouts – du mois, pour ceux qui ont la chance d’avoir un salaire régulier, aussi faible soit son montant –, voilà largement de quoi indigner nos populations devant les énormités des manquements gestionnaires relevés