Quarante kilomètres qu’on n’arrive pas à réhabiliter, deux tronçons de cinquante kilomètres chacun attribués à deux sociétés (fictives ?) il y a plus de deux ans et qui avancent à pas de tortue.
Il y a quelques semaines, un ancien fonctionnaire devenu conservateur de bibliothèque, Ahmed Mahmoud ould Mohamed, dit Gmal, publiait sur Facebook un post au titre évocateur : « La mémoire en décharge : quand les archives nationales finissent dans les ruelles de Nouakchott ».