
Depuis la rupture du contrat avec la société française Pizzorno, qui se chargeait tant bien que mal du ramassage et de l’enfouissement des ordures, Nouakchott est sous la menace d'une catastrophe écologique.
C’est la question de la semaine : Après plus d’un an à la tête de la Primature, Ould Diay a-t-il réussi ou échoué ? A-t-il pu insuffler un sang nouveau à une institution qui en avait tant besoin ? Est-il parvenu à coordonner avec succès l’action d’un gouvernement dont il n’avait pas prise sur certains membres ?