
J’ai été interloqué par les propos tenus par les représentants des chauffeurs routiers, hier soir, sur la chaine de télévision publique, au sujet des raisons de leur grève actuelle.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.